Malgré un contexte économique très compliqué en raison de la pandémie du coronavirus, les banques américaines impressionnent de par leurs résultats. Comment cela s’explique-t-il ?
Des salaires en hausse
Les banques américaines ont su de tirer d’affaire. Alors que le pays fait parti intégrante des pays les plus touchés et affectés par la crise sanitaire mondiale, les banques ne donnent pas cette impression à travers les résultats qu’elles affichent. En effet, ces résultats se font sentir sur les salaires qui ont connu une augmentation non négligeable. Par exemple le PDD de Morgan Stanley touchera dans le compte de l’exercice 2020 une somme qui avoisine les 33 millions de dollars. Cette somme a subi une augmentation de 22℅ comparativement à l’an passé. Elle n’est cependant pas le fruit du hasard. Plusieurs paramètres rentrent en ligne de compte pour cette hausse salariale. D’abord, la banque s’est penchée sur l’évaluation du travail abattu par le PDG ainsi que ses méthodes employées pour booster les revenus de l’entreprise sur de longs termes. Ensuite, un regard a été jeté sur la performance financière de l’entreprise. La banque a grâce au leadership de son dirigeant fait un profit total de 23℅ soit 10,5 milliards de dollars.
Des marchés financiers favorables
Plusieurs facteurs ont favorisé la prospérité de l’économie américaine en 2020. Il y a par exemple les marchés financiers qui ont aidé à maintenir le cap. Ces marchés sont restés très stables pour la plupart. A cela s’ajoute les élections présidentielles et les annonces faites par les chercheurs sur le vaccin du covid-19. Ceci a engendré une lueur d’espoir chez les investisseurs qui n’ont pas battu en retrait.
Une stabilité encourageante
Malgré la vague de contamination et les dommages causés par la pandémie du coronavirus, les entreprises américaines ont su garder la tête sur les épaules, elles ont préservé leurs activités alors même que dans d’autres pays c’était la période ouverte à la faillite et à la banqueroute. Les entreprises américaines ont surtout su échapper à plusieurs pertes d’emplois et à la fermeture des grandes sociétés qui constituent le poumon de l’économie américaine